Cette approche dynamique garantit une vérification précise et efficace, tout en réduisant les frictions pour les clients à faible risque et en renforçant les contrôles pour les clients à haut risque.

  • Clients à Faible Risque :

    • Exigences minimales : Demande de documents de base tels que pièce d’identité (carte d’identité ou passeport) et preuve de résidence (facture de services publics ou relevé bancaire).
    • Processus simplifié : Vérification rapide avec un minimum d’interactions nécessaires pour compléter la vérification KYC.

 

  • Clients à Risque Moyen :

    • Documents supplémentaires : En plus des documents de base, des justificatifs supplémentaires peuvent être demandés, tels que les relevés bancaires récents, les justificatifs de revenus (bulletins de salaire ou déclaration fiscale), et une vérification approfondie des antécédents.
    • Surveillance accrue : Examens périodiques plus fréquents pour s’assurer que les informations restent à jour et que le risque est correctement géré.

 

  • Clients à Haut Risque :

    • Exigences détaillées : Demande de documents détaillés comme les bilans financiers, les déclarations de patrimoine, les contrats, les lettres de référence bancaire, et d’autres documents prouvant la source des fonds.
    • Vérifications approfondies : Processus de vérification exhaustif comprenant des entretiens individuels, des enquêtes sur les antécédents et une surveillance continue des transactions.
    • Mise à jour fréquente : Requêtes régulières pour mettre à jour les informations et assurer une surveillance constante des activités du client.

 

Automatisation du processus de demande :

Les systèmes ML peuvent automatiser la demande de documents en fonction des profils de risque. Lorsqu’un nouveau client s’inscrit ou lorsqu’un profil existant est mis à jour, le système génère automatiquement une liste personnalisée des documents nécessaires.

 

Surveillance continue et ajustement des exigences :

Les profils de risque peuvent changer au fil du temps. Les systèmes ML peuvent surveiller en continu les activités des clients et ajuster les exigences documentaires en conséquence. Par exemple, si un client initialement classé à faible risque commence à montrer des comportements suspects, le système peut demander des justificatifs supplémentaires.